J’ai découvert une magnifique BD de Art-mella « Émotions : enquête et mode d’emploi« …. Et là je me suis dit….
Dans un passage elle associe les émotions à un mouvement :
– La tristesse : les bras nous en tombe, mouvement vers le bas
– La peur : Arghhhh ! mouvement de recul
– La colère : peur de perdre son territoire, mouvement pour repousser
– La joie : yépa ça donne envie, mouvement vers l’avant
Je trouve la métaphore parfaite.
Et du coup si on associe la joie à une des émotions négatives ça coince.
Comme dans une équation mathématique : – et +…. ça fait -.
L’exemple qu’elle donne concerne la joie associé à la peur.
Et c’est là que je me suis « mais oui, mais c’est bien sûr ! » je venais de comprendre tout le schéma de l’abondance que je travaillais ces dernières semaines !
Je m’explique :
Peur = de ne pas gagner assez d’argent
Joie = un job passionnant
La Peur = fait reculer
La Joie = fait avancer
Du coup…. et ben au mieux je faisais du surplace, au pire je reculais ! Et quand j’arrivais à avancer c’était au prix d’un effort surhumain pour aller à l’encontre du mouvement de recul.
Et ? Je venais de comprendre avec cette métaphore tout le mécanisme de l’abondance.
=> si je veux vivre de ce job passionnant… je dois lâcher mes peurs.
Et ça tombe bien c’est ce que je m’attache à faire depuis quelques mois. Une peur après l’autre.
– Peur de manquer
– Peur de faire faillite
– Peur de mettre mes enfants en danger
– Peur de créer des dettes
– Peur d’échouer
– Peur de me tromper
– Peur… d’avoir peur :p
Alors voyons avec les autres émotions.
La colère : de passer mon temps à répéter les choses à mes enfants
La joie : d’avoir des enfants qui grandissent
Résultat : Bingo on fait du surplace ! Et c’est parce que moi je fais du surplace avec ces deux émotions… que eux même font du surplace.
C’est d’ailleurs les jours où je lâche ma colère et ma frustration et que j’arrive à les accueillir comme ils sont, qu’ils sont les plus autonomes et qu’ils me surprennent le plus 😉
La tristesse : La tristesse de ces vies envolées
La joie : La joie d’être en vie
Résultat : Paf me voilà cloué sur ma chaise, sans force, sans envie de me lever, anéantie.
C’est en accueillant cette tristesse que je la libère et que je retrouve le peps de me relever, de me mouvoir et de vivre cette vie si précieuse. Pour eux, pour moi.
J’en entends déjà me dire « et si c’est colère et peur » en même temps ?
Ben ça vous rend zébulon tiens :p
C’est surtout que ça met un fiéfé bazard dans le message ! et pour soi et pour son entourage ! Vous repoussez l’autre et vous reculez de peur et avec le double de forces contraires encore plus compliqué d’avancez vers où vous voulez aller ❤
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